Patrimoine Hollis* et iA Valeurs mobilières sont maintenant iA Gestion privée de patrimoine

Nous sommes fiers de lancer notre nouveau nom de société, iA Gestion privée de patrimoine. Le nouveau nom est conçu pour mieux refléter l’essence de ce que nos conseillers accomplissent – procurer des solutions de gestion de patrimoine holistiques adaptées aux besoins ainsi qu’aux objectifs uniques des investisseurs partout au Canada.

Veuillez prendre note qu’il ne s’agit que d’un changement d’appellation uniquement. La relation avec votre conseiller demeure inchangée et aucune démarche de votre part n’est requise.

*Fait uniquement référence aux conseillers inscrits auprès de l’Organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières au sein de Patrimoine Hollis.

Actualités

Nos articles, vidéos et webémissions peuvent vous aider à approfondir vos connaissances en matière de gestion du patrimoine et à rester informé sur les marchés et l’économie.
Article

Aperçu de marché mensuel

10 min de lecture

Par iA Gestion privée de patrimoine, le 14 mai 2024

James Gauthier et son équipe de recherche livrent leurs conclusions sur les indicateurs économiques et boursiers du mois dernier.

Lire le rapport (PDF)

Vidéo

Mise à jour hebdomadaire macroéconomique et sur les marchés

Durée de la vidéo 9:35

De iA Gestion privée de patrimoine, le 10 mai 2024

Un rendez-vous hebdomadaire pour connaître les points de vue et les perspectives sur le paysage macroéconomique avec Sébastien Mc Mahon, stratège en chef et économiste sénior, iA Gestion de placements.

Regarder les mises à jour hebdomadaire  précédentes de Sébastien sur YouTube.

Article

Planification successorale pour les propriétaires d’une entreprise familiale

de lecture

Par iA Gestion privée de patrimoine, le 8 mai 2024

Si vous êtes comme la plupart des gens d’affaires, votre entreprise familiale constitue une passion et non un simple emploi. C’est la raison pour laquelle vous avez consacré à son développement tant d’efforts et de temps. Maintenant que la retraite se précise (ou du moins que ce n’est plus une pensée abstraite pour un futur éloigné), le temps est venu de poser quelques jalons. En réalité, vous devez vous pencher sur votre planification successorale.

C’est un exercice complexe, qui s’inscrit généralement dans un processus pluriannuel. Abordons les notions fondamentales qui vous permettront d’échafauder une stratégie et d’établir un calendrier propre à la situation de votre famille et de votre entreprise.

Rester en famille

Concentrons-nous pour l’instant sur l’aspect familial de ce processus, en laissant de côté la dimension d’affaires. La conciliation des deux s’avère souvent délicate, en particulier lorsqu’il s’agit de nommer la personne qui assumera la destinée de l’entreprise. Parmi la nouvelle génération, qui semble avoir la fibre pour diriger? Devez-vous confier les rênes de l’entreprise à l’enfant ainé, à celui qui démontre le plus d’ascendant, ou le plus d’intérêt pour l’activité, ou qui occupe déjà une fonction propice à assumer la direction?

Il n’y a pas de bonne réponse universelle, puisque chaque famille et chaque situation d’affaires comportent ses particularités, mais dans tous les cas, vous devez nécessairement donner à chacun et chacune la possibilité de s’exprimer. Une fois votre décision prise, communiquez-là de façon claire et logique, car même si vous n’obtenez pas de consensus et que vous risquez de créer certaines frustrations, votre transparence sera appréciée. Il faut toujours rechercher l’harmonie, mais en tant que propriétaire, c’est évidemment la viabilité de votre entreprise qui doit guider vos décisions.

Rechercher à l’extérieur de la famille

Ne supposez pas qu’un membre de votre famille reprendra le flambeau. Il est possible que personne ne s'intéresse réellement aux activités de l’entreprise, ne souhaite y travailler ou la diriger, ou même ne démontre les compétences requises. Vous pouvez donc vous tourner vers les membres de votre personnel. Lorsque vous avez repéré une candidature, assurez-vous de communiquer clairement l’étendue du poste. Là encore, expliquez la décision à votre famille et encouragez une discussion. À chaque étape, une communication ouverte permet de concilier les intérêts et les attentes de toutes et de tous, minimisant ainsi les conflits.

Que la personne à qui vous confiez les rênes de votre entreprise ait été choisie au sein de votre famille ou parmi ses cadres, établissez un plan de développement comportant des objectifs afin de favoriser la réussite. Documentez les responsabilités principales que vous assumez actuellement (en permanence et ponctuellement) et formez votre relève en conséquence. Faites preuve d’ouverture d’esprit et suscitez des idées d’amélioration du processus organisationnel, de la culture et de la structure d’entreprise, ainsi que de relais de croissance. Ne négligez personne, car tout regard neuf peut générer des perspectives différentes susceptibles de permettre à l’entreprise d’atteindre le niveau supérieur.

La gestion des finances

La question financière peut s’avérer complexe dans une planification successorale, surtout si vous avez plusieurs enfants, avec des niveaux différents d’implication dans les activités. Si l’entreprise existe depuis plusieurs générations, plus le nombre de personnes impliquées dans l’activité augmente (ex. cousins, cousines, neveux, nièces) plus la situation devient compliquée. C’est aux propriétaires de déterminer comment transmettre l’entreprise et répartir les actifs de la manière la plus efficace et équitable. En cas de cession à des tiers, la famille restera-t-elle impliquée dans la conduite des activités et, dans l’affirmative, avec quelle fonction?

Que la décision finale consiste à transmettre l’entreprise à la famille ou à la céder à des tiers, le prix de vente doit refléter sa valeur de marché. Pour nombre de propriétaires, leur entreprise constitue leur principal actif et leur première source de revenu à la retraite. Ne vous lésez pas en diminuant la valeur de votre entreprise, même si vous la revendez à vos enfants.

Les complexités propres à la planification successorale justifient généralement de consulter régulièrement votre conseiller ou votre conseillère ainsi que des spécialistes dans les domaines du droit, de la fiscalité, de la succession et des stratégies de sortie.

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    Quelles sont les incidences financières d’un divorce?

    de lecture

    Par iA Gestion privée de patrimoine, le 1er mai 2024

    Peu importe votre point de vue, un divorce n’est jamais facile. Outre les défis émotionnels liés à la fin d’un mariage, surtout avec des enfants, vos finances seront grandement affectées. Voici quatre mesures que vous pouvez prendre pour préserver votre richesse.

    1. Avoir une bonne compréhension de votre situation financière. La plupart des gens ont une bonne idée de leur situation financière globale, mais dans le cadre d’un divorce, vous devez passer en revue les comptes bancaires et de placements, les cartes de crédit, les relevés hypothécaires, les prêts, les marges de crédit, etc. Soulignons l’importance d’examiner les comptes-conjoints avant la séparation des actifs. Considérez la signature d’une entente avec votre futur(e) ex-conjoint(e), afin de veiller à poursuivre les paiements des dépenses communes, tout en évitant de nouveaux emprunts.

      Si vous détenez un prêt ou une marge de crédit à deux signatures, demandez à l’institution financière de retirer l’autre cosignataire et d’attribuer cette dette à la personne qui en est exclusivement responsable. Si vous ne détenez pas déjà un compte d’épargne ou de chèque personnel, le moment est tout indiqué pour en ouvrir un. Demandez aussi votre dossier de crédit pour connaître votre pointage. Planifiez, dans votre compte personnel, les dépôts directs et le versement de la quote-part des dépenses communes dans le compte conjoint. Concernant les cartes de crédit et les prêts, ni vous ni votre ex-conjoint(e) ne doit être contraint à négocier avec des créanciers ou à assumer une dette dont il n’est pas responsable. Si vous et votre ex êtes en mesure de rembourser les dettes liées aux comptes conjoints, faites-le et fermez ces comptes. On a tous eu vent d’histoires de dépenses faramineuses. Il est donc tout à votre avantage de faire un suivi de ces comptes et de protéger vos actifs.

    2. Mettre à jour les polices d’assurance et les bénéficiaires. Un divorce aura un effet sur vos besoins en assurance. Si vous tombez gravement malade, par exemple, et que vous avez besoin d’aide pour payer les factures, vous pourriez nécessiter une police personnelle additionnelle, dans l’éventualité où le revenu de votre ex-conjoint(e) était auparavant utilisé pour couvrir ces frais. Dans la même veine, vous devez évaluer vos besoins en assurance en tant que détenteur unique de la police et veiller à bénéficier d’une couverture adéquate. Une assurance-vie permanente comporte souvent une valeur de rachat. Dans ce cas, il est judicieux d’inclure la valeur de rachat lorsque vous séparez vos actifs.

      Il est également important de vérifier les bénéficiaires des comptes de placements et enregistrés, tels que les REER, CELI, FERR et les régimes de retraite au travail, et de les modifier en conséquence. Si vous aviez nommé votre ex-conjoint(e) en tant que bénéficiaire ou que vous lui aviez accordé certaines procurations, vous voudriez peut-être les modifier. Un professionnel de la planification successorale peut vous aider à apporter les ajustements nécessaires à votre planification. Si vous participez au régime d’avantages sociaux au travail de votre ex-conjoint(e) (ou vice-versa), un divorce peut vous forcer à prendre d’autres dispositions pour vous assurer de conserver votre couverture.

    3. Régler le domicile familial. Cette décision peut aussi avoir d’importantes conséquences émotionnelles. Il vous faut déterminer si l’un d’entre vous souhaite rester dans la maison et dispose de la capacité financière nécessaire. Si l’on considère que les deux partenaires contribuaient également aux paiements hypothécaires, la perte d’un revenu peut menacer ces paiements et exiger une négociation ou un refinancement pour la personne qui reste. Vous pourriez choisir de vendre la propriété et vous séparer les profits à deux, ou le propriétaire restant peut racheter la part de son ex-conjoint(e). Si vous avez des enfants, il serait judicieux qu’ils demeurent dans la maison familiale afin d’atténuer les perturbations causées par le divorce.

    4. Travailler en étroite collaboration avec votre conseiller en placement. Les conseils professionnels ont une valeur inestimable en cas de divorce. Un conseiller peut vous aider à déterminer votre actif et votre passif, et calculer votre patrimoine personnel. Il peut également rajuster votre budget et votre plan de patrimoine en fonction de vos nouvelles circonstances de vie, y compris en recalculant votre pécule de retraite ou en révisant vos objectifs, le tout de manière à vous positionner pour rebondir. Si vous pouvez épargner ou investir davantage (ou différemment) pour réaliser vos objectifs à long terme, un conseiller en placements est là pour vous aider. Vos revenus pourraient aussi être affectés par une pension alimentaire, que vous soyez la personne qui la reçoit ou la verse. Vous serez toujours gagnant si vous faites appel à une équipe de professionnels (conseiller en placement ou en fiscalité, planificateur successoral, avocat spécialiste en divorce et comptable, par exemple) qui vous aideront à traverser cette période difficile sans perdre votre indépendance financière et votre tranquillité d’esprit.

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    RAP ou CELIAPP : Lequel dois-je privilégier?

    de lecture

    Par iA Gestion privée de patrimoine, le 19 avril 2024

    Plusieurs personnes souhaitent acheter une maison, mais la tâche est ardue dans la conjoncture actuelle. La situation financière des consommateurs est mise à mal par la forte inflation du prix des aliments, du carburant et de tous les autres produits et services. Les banques centrales ont relevé leurs taux afin de reprendre le contrôle de l’inflation, d’où l’explosion des taux hypothécaires. Il faut aussi garder à l’esprit que les évaluations immobilières demeurent très élevées, surtout dans les grandes zones urbaines. Que devrait faire un acheteur potentiel?

    Outre les décisions personnelles quotidiennes, telles qu’analyser ses dépenses et tenter d’épargner davantage, le gouvernement fédéral a adopté des mesures afin d’aider les Canadiennes et les Canadiens à acheteur leur première maison, soit le régime d’accession à la propriété (RAP) et le compte d’épargne libre d’impôt pour l’achat d’une première propriété (CELIAPP).

    Fonctionnement du RAP

    Ce régime vous permet de retirer, à l’abri de l’impôt, jusqu’à 60 000 $ de votre régime enregistré
    d’épargne-retraite (REER) pour l’achat de votre première maison. Il s’agit en quelque sorte d’un prêt sans intérêt que vous vous accordez pour acquérir une demeure. Vous pouvez puiser dans plus d’un REER, pour un montant maximal de 60 000 $, pourvu que vous soyez le détenteur de chaque compte. L’institution financière auprès de laquelle vous détenez votre REER ne procèdera à aucune retenue fiscale sur l’argent que vous retirez. Soulignons également que certains types de REER, tels que les REER immobilisé ou collectif, ne sont pas admissibles au RAP.

    Les retraits effectués dans le cadre du RAP doivent être remboursés dans votre compte REER sous forme de montants annuels minimaux sur une période de 15 ans, et ce, à compter de la deuxième année civile qui suit le retrait. En avril 2024, le gouvernement a porté ce délai de grâce de deux ans à cinq ans pour les retraits effectués entre le 1er janvier 2022 et le 31 décembre 2025. Vous pouvez rembourser un montant supérieur pendant une année donnée, ou la totalité en tout temps avant la fin de la période de 15 ans. Si vous n’êtes pas en mesure de rembourser la totalité du montant en 15 ans, le solde impayé sera considéré comme un revenu imposable.

    Fonctionnement du CELIAPP

    Ce programme a été lancé dans le cadre du budget fédéral de 2022. Les derniers détails juridiques et administratifs ont été réglés et les institutions financières ont commencé à offrir ce compte. Le CELIAPP est un compte enregistré destiné aux Canadiennes et aux Canadiens âgés de plus de 18 ans qui n’ont jamais été propriétaire d’une maison ou ceux qui ne l’ont pas été depuis les quatre dernières années civiles. Ainsi, les citoyens admissibles peuvent verser une cotisation annuelle maximale (déductible du revenu imposable) de 8 000 $, pour une limite à vie de 40 000 $. Dans l’éventualité où vous ne cotisez pas le montant maximum prescrit sur un an, les droits de cotisation inutilisés (jusqu’à concurrence de 8 000 $) peuvent être reportés à l’année suivante.

    Lorsque vous retirez des fonds afin d’acheter une maison, ce montant n’est pas imposable, y compris le revenu gagné dans le compte. Si vous ne retirez pas la totalité de votre CELIAPP sur la période de 15 ans, vous êtes tenu de fermer le compte. Vous pourrez alors transférer, à l’abri de l’impôt, les fonds restants à un REER ou un FERR. Malheureusement, les sommes qui demeurent dans le CELIAPP seront imposables. Comme c’est le cas pour la plupart des comptes enregistrés, vous pouvez investir dans différentes catégories de titres, tels que des actions, obligations, fonds communs de placement et FNB. Votre conseiller en placements peut vous aider à sélectionner les titres qui conviennent le mieux à votre horizon temporel, votre tolérance au risque et vos objectifs financiers.

    Prendre la bonne décision

    Le RAP et le CELIAPP comportent des caractéristiques et un fonctionnement qui leur sont propres, mais ils permettent d’accélérer le processus d’accession à la propriété. Un RAP est idéal si vous n’avez pas suffisamment d’épargne disponible, puisque vous retirez à partir de votre REER déjà financé. Un CELIAPP convient si vous pouvez fournir une somme considérable, car il réduira votre revenu imposable et les retraits sont libres d’impôt. Heureusement, la décision n’est pas si compliquée. Si vous le souhaitez (et que vous disposez d’un bon pécule), vous pouvez utiliser conjointement le RAP et le CELIAPP pour le financement de votre première maison.

    Demandez à votre conseiller en placements de vous aider à maximiser l’utilisation du RAP et du CELIAPP pour l’achat d’une première maison selon votre situation fiscale et financière.

      Article

      Votre liste de vérification pour la saison des impôts

      de lecture

      Par iA Gestion privée de patrimoine, le 14 mars 2024

      La saison des impôts bat son plein. Combien de fois avons-nous fait et refait les mêmes étapes pour la préparation des déclarations de revenus? Peu importe, nous vous offrons ce rappel qui facilitera votre organisation et, nous l’espérons, rendra ce processus plus harmonieux pour vous.

      Documents de référence

      Il est judicieux d’avoir la déclaration de l’année précédente en main afin d’identifier les relevés et les formulaires que vous devrez remplir cette année, ainsi que les lignes qui doivent être complétées dans votre déclaration. Évidemment, vos circonstances ont peut-être changé, mais vous pouvez vous fier aux déclarations antérieures. 


      L’avis de cotisation de l’Agence du Revenu du Canada (ARC) de l’année dernière est également utile. Chaque avis contient des renseignements importants, tels que le montant maximum déductible au titre des REER pour l’année fiscale suivante, le montant des pertes en capital nettes que vous pouvez appliquer à vos gains en capital imposables futurs, ainsi que les corrections apportées pendant la production. Finalement, regroupez les acomptes provisionnels versés pendant l’année et toutes les autres communications pertinentes reçues de l’ARC.


      Voici une liste des documents, feuillets, relevés, formulaires et autres que vous devrez obtenir pour compléter votre déclaration de revenus.


      Relevés fédéraux

      • T3 : Revenu de placements (allocations, distributions) touché pendant l’année fiscale
      • T4 : Revenu d’emploi (comprend les cotisations au RPC et d’assurance-emploi, l’impôt retenu à la source, le facteur d’équivalence, les dons caritatifs versés sur votre paie, etc.)
      • T4A : Revenu de pension, de retraite, de rente ou d’autres sources
      • T4A (OAS) : Relevé de la sécurité de la vieillesse
      • T4A(P) : Prestations du régime de pensions du Canada
      • T4E : Prestations d’assurance-emploi
      • T4RIF : Revenu provenant d’un fonds enregistré de revenu de retraite
      • T4RSP : Revenu provenant d’un REER
      • T5 : Revenus de placements (revenu d’intérêt provenant de comptes bancaires ou de CPG, distributions de catégories de fonds communs de placement, par exemple)
      • T2202 : Certificat pour frais de scolarité et d’inscription (ou formulaire TL11 pour des études universitaires à l’extérieur du Canada)
      • T5013 : État des revenus d’une société de personnes

      Relevés de Revenu Québec

      • RL-1 : Revenus d'emploi et revenus divers
      • RL-2 : Revenus de retraite et rentes
      • RL-5 : Prestations et indemnités
      • RL-6 : Régime québécois d'assurance parentale
      • RL-8 : Montant pour études postsecondaires
      • RL-19 : Versements anticipés de crédits d'impôt
      • RL-26 : Capital Régional et Coopératif Desjardins

      Autres reçus et documents

      • Reçus des cotisations à un REER effectuées l’année civile précédente ou dans les 60 premiers jours de l’année courante
      • Dépenses réalisées dans le cadre d’un investissement, y compris les prêts aux fins d’investissement
      • Frais de garde et d’adoption d’enfants
      • Pensions alimentaires
      • Frais médicaux
      • Frais de déménagement
      • Dons de charité, contributions politiques
      • Cotisations professionnelles ou syndicales qui ne figurent pas sur le feuillet T4
      • Dépenses pour abonnement aux nouvelles numériques
      • Revenus et dépenses d’entreprise
      • Revenus et dépenses de location
      • Honoraires du conseiller en placement et frais financiers
      • Documents pertinents à la vente d’un actif immobilier 

      Dépenses de travail à domicile pour les employés

      Concernant la déduction des dépenses de travail à domicile entrée en vigueur pendant la pandémie de Covid-19, le gouvernement a apporté des changements à certaines règles et conditions. Selon l’ARC, les employés qui étaient admissibles au travail à domicile en 2023 doivent remplir le formulaire détaillé pour obtenir la réduction des dépenses de travail à domicile. Le gouvernement a mis fin au taux fixe adopté sur une base temporaire. Visitez le site du gouvernement du Canada pour en savoir plus sur les dépenses admissibles et d’autres renseignements importants concernant les dépenses de travail à domicile.


      Notre liste présente les relevés, feuillets, reçus et autres documents dont vous avez besoin pour produire votre déclaration de revenus, mais elle n’est pas exhaustive. Évidemment, certains relevés de cette liste ne s’appliquent pas à votre situation, alors que d’autres seront nécessaires. Nous vous conseillons de retenir les services d’un professionnel reconnu, afin de vous assurer que votre déclaration est complète et que vous n’avez pas oublié de déduire des dépenses ou d’inscrire des crédits auxquels vous êtes admissibles.

      Article

      Dynamisez votre épargne-retraite grâce au REER

      de lecture

      Par iA Gestion privée de patrimoine, le 14 février 2024

      Pour un très grand nombre de Canadiennes et de Canadiens, le régime enregistré d’épargne-retraite (REER) représente les assises de leur sécurité financière. Dans cet article, nous présentons les caractéristiques principales des REER et leurs nombreux avantages.

      Fonctionnement du REER

      Vous pouvez cotiser à un REER à compter de la première fois où vous gagnez un revenu admissible jusqu’au 31 décembre de l’année de votre 71e anniversaire. Chaque année d’imposition, vous pouvez verser des cotisations pendant l’année civile et les 60 premiers jours de l’année qui suit. Par exemple, pour l’année d’imposition 2024, vous pouvez cotiser tout au long de 2024 et des 60 premiers jours de 2025.

      La cotisation annuelle maximale à un REER est de 18 % de votre revenu gagné lors de l’année d’imposition précédente, jusqu’à concurrence de la limite permise. Par exemple, le plafond de cotisation au REER pour 2024 est de 31 560 $, alors que le plafond pour 2023 était de 30 780 $. Vous trouverez les plafonds annuels sur le site Web du gouvernement du Canada.

      Veuillez également prendre note de ce qui suit :

      • Si vous ne versez pas le montant maximal au cours d’une année donnée, les droits inutilisés sont reportés indéfiniment.
      • Si vous participez à un régime de retraite d’employeur, votre facteur d’équivalence (FE) réduira le montant auquel vous avez droit. Le montant du FE s’affiche sur votre feuillet T4.
      • Certains employeurs offrent une cotisation de contrepartie intégrale ou partielle (p. ex., si vous versez 4 % de votre salaire à votre régime de retraite, votre employeur pourrait verser une cotisation de contrepartie de 2 %). Vérifiez les détails auprès de lui.
      • Si vous avez cotisé 2 000 $ de trop à votre REER (selon votre avis de cotisation de l’Agence de revenu du Canada [ARC]), vous devrez payer une pénalité de 1 % par mois tant que le montant excédentaire restera dans votre compte.
      • Vous pouvez retirer des fonds en franchise d’impôt de votre REER pour faire une mise de fonds sur votre première maison. Le Régime d’accession à la propriété (RAP) comporte des règles et des modalités de remboursement précises. Parlez à votre conseiller pour voir si le programme convient à votre situation.
      • Si vous planifiez un retour aux études à plein temps, le Régime d’encouragement à l’éducation permanente (REEP) vous permet de retirer jusqu'à 10 000 $ de vos REER par année. Ce plafond peut atteindre 20 000 $ selon certaines conditions. Comme c’est le cas pour le RAP, vous devez respecter les règles et les modalités du gouvernement du Canada.
      • Vous pouvez cotiser au REER de votre conjoint ou conjoint de fait si vous avez le revenu le plus élevé. Vous recevriez alors une déduction qui pourrait réduire votre facture d’impôt. Consultez votre conseiller pour connaître les diverses règles entourant les REER de conjoint.

      Principaux avantages du REER

      Le REER offre un allégement fiscal immédiat, car le montant de vos cotisations est déduit de votre revenu brut de l’année, ce qui signifie moins d’impôt à payer. Beaucoup de gens investissent les économies d’impôt ou s’en servent pour réduire leur dette. Peu importe l’approche que vous adopterez, vous solidifierez votre situation financière.

      De plus, l’impôt sur toute croissance de votre REER découlant de gains en capital, de dividendes ou d'intérêts est reporté jusqu’à ce que vous commenciez à retirer des fonds lors de votre retraite. Cette caractéristique vous permet de capitaliser la croissance de votre REER sans conséquence fiscale immédiate, de sorte que votre argent travaille plus fort pour vous et vous aide à faire fructifier votre patrimoine plus rapidement en vue de la retraite.

      Le REER vous procure également de la souplesse. Vous pouvez investir dans des actions, des obligations, des fonds communs de placement, des fonds négociés en bourse (FNB), des certificats de placement garanti (CPG) et plus encore. Pour plus de commodité, envisagez d’établir un plan de cotisations préautorisées. Lorsque vous aurez décidé du montant à investir, à quel intervalle et dans quels produits financiers, l’argent sera automatiquement placé selon vos instructions. Par exemple, votre plan de cotisations préautorisées pourrait affecter 250 $ par mois à un certain fonds commun de placement.

      Un conseiller en placement de iA Gestion privée de patrimoine peut vous aider à établir et à maintenir une stratégie REER qui vous convient. Communiquez avec un conseiller dès aujourd’hui.

      Article

      Pouvez-vous prendre une retraite anticipée?

      de lecture

      Par iA Gestion privée de patrimoine, le 11 Janvier 2024

      Plusieurs aiment tellement leur travail qu’ils ne songent même pas à la retraite, alors que d’autres rêvent de dire adieu au travail le lendemain matin. Mais avant de prendre une retraite anticipée, il y a plusieurs éléments que vous devez considérer avant de prendre la meilleure décision.

      Comprendre vos finances

      Premièrement, est-il financièrement viable de prendre une retraite plus tôt? En collaboration avec un conseiller, vous pouvez examiner votre plan de patrimoine et tenter d’identifier les enjeux qui nuisent à votre santé financière à long terme. Vous êtes aussi en mesure de modifier votre plan afin de veiller à ce que vos capitaux soient suffisants pour votre retraite.

      Un conseiller peut vous aider à calculer vos revenus après votre départ à la retraite et prévoir les montants que vous devriez recevoir du Régime de pensions du Canada (RPC) et de la Sécurité de la vieillesse (SV). N’oubliez pas que si vous touchez des prestations du RPC avant l’âge de 65 ans, vos prestations seront réduites en conséquence. Si vous détenez vos REER et un CELI, ainsi qu’un régime de retraite au travail, ils seront considérés des sources de revenus, comme les comptes d’investissement, une entreprise ou un actif immobilier, sans compter votre épargne et vos actifs. Peu importe vos sources de revenus, il vous faut considérer les incidences fiscales, car une bonne partie de vos flux de trésorerie seront imposables.

      En établissant votre budget, vous devez considérer les dépenses possibles, y compris les dépenses quotidiennes. Où souhaitez-vous demeurer? Voulez-vous louer ou être propriétaire? Avez-vous des problèmes de santé, ou est-ce le cas dans votre famille? Quel style de vie voulez-vous adopter? Est-ce que vous voulez voyager sur une base régulière? Quels sont vos hobbies? Avez-vous des personnes à charge? Dès que vous avez les réponses à ces questions, vous avez une bonne idée de vos dépenses.

      Dans l’éventualité d’un écart entre vos revenus et vos dépenses, vous devez prendre des décisions importantes. Parmi les nombreuses solutions qui s’offrent à vous, notons des modifications à votre style de vie afin de réduire les coûts, un travail à temps partiel, épargner davantage et obtenir de meilleurs rendements sur vos placements (en d’autres mots, conserver une exposition suffisante aux actions et aux titres qui présentent un meilleur potentiel de croissance, par exemple).

      Les avantages d’une retraite anticipée

      Il existe deux avantages principaux à une retraite anticipée :

      1. Santé mentale et physique. Au fil des ans, le travail peut nuire à votre santé. Même si vous appréciez votre travail et vos collègues, le travail est une source de stress et peut miner votre santé mentale et physique. Un horaire de travail chargé peut vous forcer à sacrifier plusieurs activités importantes, comme l'activité physique régulière, les événements sociaux ou une alimentation saine. Si vous souffrez d’une maladie grave, vous pouvez certainement prendre une retraite anticipée pour prendre soins de vous.
      2. Utilisez son temps de manière intelligente. Le temps passé au travail est certes judicieux mais, à la retraite, vous pouvez occuper votre temps comme bon vous semble. Ce peut être à des organismes caritatifs ou d’autres événements philanthropiques. Vous pouvez passer plus temps à vos hobbies. Vous pourrez aussi consacrer autant de temps que vous le voulez à vos amis et êtres chers, ou même débuter un nouveau projet secondaire selon vos intérêts.

      Toujours indécis?

      Voulez-vous ralentir le rythme et privilégier une semi-retraite? Dans ce cas, considérez un passage graduel à la retraite. En d’autres mots, réduisez vos heures de travail à votre emploi actuel ou acceptez un travail à temps partiel. Grâce à cette approche par étapes, vous pouvez continuer à accumuler vos épargnes, à maximiser vos relations sociales, à cultiver votre intellect et à donner du temps aux activités que vous appréciez.

      Peu importe votre décision, assurez-vous de tenir compte de toutes vos circonstances personnelles et financières.

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      L’année tire à sa fin : comment gèrerez-vous vos dépenses?

      de lecture

      Par iA Gestion privée de patrimoine, le 23 novembre 2023

      À l’approche de la fin de l’année, le moment est tout indiqué pour évaluer vos dépenses avec l’objectif de redresser vos finances. Nouvelle année, nouveau départ. Lorsque vous avez le contrôle de vos dépenses et que vous êtes en mesure d’accumuler votre patrimoine, au lieu de vous endetter davantage, vous facilitez l’atteinte de vos objectifs financiers à court et long terme.

      Comment réussir la gestion de vos dépenses à la fin de l’année? Voici quelques conseils judicieux.

      1. Élaborez un plan de patrimoine. Si vous n’avez pas encore retenu les services d’un conseiller, il s’agit d’une bonne résolution pour le nouvel an. Nous avons tous des objectifs précis à atteindre et un plan rigoureux peut vous donner un coup de main en 2024. Un plan de patrimoine développé par un professionnel tient compte de vos circonstances, de vos objectifs, de votre horizon temporel et de votre tolérance au risque. Il vous aidera à épargner, investir, gérer votre dette et optimiser votre situation fiscale. De plus, vous pouvez l’adapter en fonction de l’évolution de votre situation et de l’étape de votre vie. La création et le maintien d’un plan de patrimoine personnalisé requièrent une formation, des compétences et une expérience uniques, d’où la valeur d’un conseiller qualifié.

      2. Dressez un budget. L’établissement du budget est un élément-clé de la planification du patrimoine. À la base, un budget suit vos sources de revenus et vos dépenses sur une période donnée (chaque mois, par exemple). Il vous offre un aperçu constant de votre gestion de l’argent et vous permet d’identifier les éléments à améliorer. Lorsque le temps des Fêtes bat son plein, il est facile de trop dépenser lors d’événements sociaux et pour des cadeaux. En cette fin d’année, portez une attention particulière aux dépenses et à votre dette en établissant un budget raisonnable et en le respectant.

      3. Consolidez votre dette. La somme que vous dépensez pendant les Fêtes est essentiellement discrétionnaire, mais quelques fois, il est impossible de ne pas s’endetter davantage. La plupart des gens ont des paiements hypothécaires, un prêt automobile, des dépenses à faire sur la maison, etc. Un conseiller peut analyser vos dettes et collaborer avec vous et votre institution financière afin de déterminer s’il est avantageux de procéder à une consolidation et de réduire le taux d’intérêt applicable à un prêt ou une marge de crédit. Souvent, la consolidation de vos dettes représente un excellent moyen pour réduire vos dépenses globales.

      4. Engagez-vous à épargner. Certes, il est important de réduire votre endettement, mais épargner l’est tout autant. Une bonne stratégie consiste à vous payer en premier en déposant un montant fixe (10 % par exemple) de chaque paie dans un compte d’épargne ou d’investissement. Ainsi, vous accroissez votre patrimoine à long terme, tout en ne succombant pas à la tentation de trop dépenser. Par ailleurs, la fin d’année est une excellente occasion de prévoir un montant à investir dans des régimes enregistrés l’année suivante. Le 1er janvier, par exemple, vous pouvez commencer à verser les cotisations annuelles à votre REER ou CELI. Vous pourrez non seulement réduire vos dépenses en vous forçant à épargner, mais vous bénéficiez également des avantages fiscaux plus tôt dans l’année. L’épargne prend aussi la forme de l’argent que vous mettez de côté pour les urgences, comme une perte d’emploi, d’importantes réparations à un véhicule ou à la maison, une maladie grave, etc. Personne ne sait quand nous aurons un besoin urgent d’argent. Par conséquent, un fonds d’urgence (plusieurs experts recommandent un montant correspondant aux dépenses du ménage sur 3 mois) est primordial pour garantir votre préparation et votre tranquillité d’esprit.

      Il est toujours judicieux de garder le contrôle de ses dépenses. La fin d’année sert souvent de motivation aux personnes qui veulent prioriser leurs finances et apporter des changements l’année suivante.